Lullaby Nightwars
Messages : 15
Date d'inscription : 08/01/2010
Age : 31
 |  Sujet: Lullaby.  Ven 6 Aoû - 23:37 | |
| I. Présentation de votre personnage
- Nom de famille : Nightwars.
- Prénom : Lullaby.
- Age : Environ 6 ans physiquement. Une trentaine d'années lors de sa mort.
- Famille ? : Plus de nos jours...
- Description physique :
Un mètre à tout casser de finesse, deux grands yeux en amande ambrés noyés dans la pâleur d'albâtre d'une peau de rose, encadrés par des mèches douces et brillantes d'un beau brun profond presque noir. Un visage félin et ovale aux pommettes saillantes, une petite bouche pulpeuse aux lèvres renflées et roses. Un corps fin et gracile aux attaches délicates, des articulations fragiles. Souvent vêtue d'une robe blanche à la jupe volumineuse et couverte de volants et d'un chapeau haut-de-forme noir et brillant, de bas blancs et d'épaisses chaussures de cuir noir.
- Description morale :
Lullaby ? Un seul mot pour la décrire ; silencieuse. Les quelques mots essentiels que de temps en temps ses lèvres en bouton de rose consentent à égrener tombent de sa gorge délicate en un bruit gracieux de grelot cristallin aussi limpide et élégant que les mouvements félins de son corps gracile. Elle répugne à laisser sortir de sa bouche autre chose qu'une information qu'elle pense essentielle, mais si on la presse de parler, il vaut mieux penser avant qu'elle est très douée en repartie cinglante... Mystérieuse, très intelligente et d'une maturité effrayante, elle impressionne souvent les gens dès le premier regard, y compris des adultes sages et expérimentés. Mais lorsqu'on la connait mieux, on comprend vite que ce ne sont que le résultat de longues années chez les anges, et qu'en réalité, bien qu'un brin asociale, et en effet plutôt silencieuse, elle a un coeur d'or et est très aimante.
- Pouvoirs :
Lorsqu'elle était humaine, elle avait comme pouvoir - en tant qu'humaine - de manipuler la matière. Depuis, en tant qu'ange maudite, elle est immortelle, berzerkeuse, et possède quelques autres petits pouvoirs démoniaques et angéliques.
III. Histoire
J'avais beau être comblée, je ne savais ce qui me manquait. Ma vie était, bien que fort étrange, idyllique... Mais je me sentais bien seule. A 18 ans, avec une existence réellement merveilleuse... Je me sentais seule. Vraiment seule.
Enfant de contes de fée, magnifique, intelligente et sage, elle avait très vite manifesté un goût certain pour tout ce qui était artistique. Ses parents l'adoraient, et la découverte de son don... De son pouvoir, ne fit que les rendre encore plus fiers de leur fille unique. En effet, elle pouvait contrôler la matière. Un jour fatal, l'Ordre les contacta, et ils virent bientôt pour leur plus grand bonheur la petite fille, en plus d'aligner les bonnes notes à l'école, apprendre peu à peu à contrôler son pouvoir.
Ca semblait pourtant mirifique, non ? Le tableau était lumineux, et si j'y étais heureuse, pourquoi personne de semblable ne me côtoyait ? Pourquoi je ne connaissais personne comme moi ? J'avais des amis, certes, mais... Ils étaient normaux. Je me sentais vraiment mal, je devenais solitaire... Mais je le cachais bien. Et puis, à 14 ans, j'ai disparu. Pendant une semaine, nul n'a su où je me trouvais, bien que l'Ordre m'ait cherché également... Je ne me suis souvenue de cette semaine que bien longtemps après.
Il fait nuit. La jeune fille effrayée ne sait où aller. Tout était si normal quelques heures auparavant... Elle était sortie des cours avec l'air sombre qu'elle prenait souvent ces temps-ci. Elle avait décidé de prendre un raccourci pour éviter d'entendre les voix, de voir les visages de ses contemporains tous si normaux... Et, dans la ruelle sombre, tout avait disparu. Elle s'était réveillé dans un monde noir sans couleurs, où des silhouettes translucides marchaient à côté d'elle sans jamais la bousculer, murmuraient sans jamais la voir. Elle était perdue sans le monde immatériel, tenant du rêve, là où existaient les esprits, où vivaient les âmes perdues des vampires, et où certains démons puissants avaient accès... Elle marcha longtemps, suffoquant parfois tant elle voulait pleurer, gémissant en essayant de respirer alors qu'elle en était incapable dans ce plan d'existence. Puis elle s'assit sur le sol de la ville en noir et blanc.
On ne mit pas longtemps à venir, cette fois-ci. Mais combien de temps s'était écoulé ? Combien de jours ? Le soleil ne se levait pas en ce lieu crépusculaire. Et lorsqu'elle s'était stoppé, son âme en mouvement s'était stabilisé, permettant à un Prince Démon, Derial, de sentir sa présence. Enfermé ici par Elysion car trop puissant, il n'attendait qu'une âme humaine pour s'échapper. Mais il ne voulait pas n'importe qui... Et il choisit la seule personne qui s'obstina à le nommer Deriel car cela avait une consonnance Archangélique à ses oreilles. Ceci dit, il finit par s'y habituer...
J'étais à deux doigts de me mettre à hurler. J'avais l'impression d'être ici depuis des mois. Mais d'après mes calculs, cela faisait environ trois ou quatre jours. Et soudain parvint à mes oreilles le seul bruit tangible ormis les chuchotements des âmes mortes qui ne bruissaient même plus autour de moi ; les bruits de ses pas. L'auteur de ce bruit ô combien agréable ne tarda pas à apparaître à mes yeux, et j'arrivai enfin à prononcer une phrase : Je vous en prie, venez par ici, ne me laissez pas seule, pitié ! puis je fondis en larmes, savourant comme jamais les pleurs qui humectaient mes joues et baignaient mes yeux dorés.
Il marcha vers moi, de plus en plus vite au fur et à mesure de mes sanglots, pour finir par me predre dans ses bras. Chut, je suis là petite... furent les premiers mots que j'entendis de lui. Il avait une voix magnifique, envoûtante, chaude et grave, légèrement rauque. Une voix tangible dans ce monde de silence. Et d'un coup, mes larmes se tarirent. Mon coeur se mit à battre plus vite et le sang à monter à mes joues. Les premiers émois amoureux me touchaient, à quatorze ans, dans un plan onirique...et pour un Prince Démon.
La deuxième chose dont je pris conscience fut son odeur. Dans ce monde dénué d'odeur, il sentait terriblement bon, et ce n'était pas seulement dû au manque de stimuli dont mon odorat avait pâti que je trouvais son odeur mirifique. Une odeur tout aussi chaude que sa voix, une odeur de canelle et de lavande, de sous-bois après la pluie et de sable chaud, une réconfortante odeur de vieille cave, l'odeur d'un cimetière la nuit, l'odeur de l'eau brûlante, l'odeur de la glace aux fruits rouges... Une odeur qui contenait tout ce dont je raffolais. Mais comme je finis par l'apprendre, cette odeur d'épices, de lavande, de sous-bois, de sable et de fruits rouges était naturelle. Pas même un moyen de séduction. Ce qu'il sentait bon...
Puis, je sentis la chaleur de son corps, de ses bras. Je rougis encore un peu plus, les joues brûlantes. Dans cet endroit glacial, je frissonnais mais cette fois-ci d'un feu intérieur qui me prenait aux tripes. Je me sentais bien dans la chaleur saine de ses bras. Les démons ont une température corporelle plus haute que les humains. Mais ça, je ne le savais pas encore, et j'ai savouré intensément ce moment contre cet inconnu qui réchauffait mon coeur, cet intrus dans ce plan vide de toute humanité. Il me maintint contre lui jusqu'à m'avoir complètement calmé, puis, sans ôter son bras, il m'écarta de lui, et je vis son visage.
Il était...magnifique. Un visage ovale et anguleux aux pommettes hautes, un nez busqué, des lèvres charnues et d'un ton plus foncées que sa peau de velours pâle. Il était mal rasé mais sa barbe naissante qui semblait être blanche était irisée de reflets plus sombres quand il bougeait et paraissait à certains moments presque noire, comme ses épais sourcils expressifs à l'angle prononcé. Ses longs cheveux de soie étaient d'un blanc immaculé et attachés en catogan. Quelques mèches s'en échappaient sur le front et dansaient, aériennes, quand il parlait, et deux mèches plus larges faisaient ressortir ses fines oreilles pointues. La pointe en était piercée, tout comme sa lèvre inférieure soulignée par un délicat petit anneau de métal noir. Et ses yeux... Fins, en amandes bordés de longs cils et légèrements cernés de noir, avec de larges prunelles grises et opalines transpercées d'une pupille féline, ils étaient prenants. Je n'ai réussi à les quitter qu'au prix d'un grand effort. C'était si aisé de se noyer dedans... Son corps d'albâtre était vêtu d'une chemise, d'un pantalon à pinces, de chaussures du type New Rock et d'un long manteau de cuir, le tout en noir. Une cicatrice soulignait tout le bord inférieur de son oeil gauche. Il me confia bien plus tard qu'il avait gardé cette marque car elle faisait rire ses enfants...
Nous restâmes à parler durant bien longtemps. Puis, sans savoir comment, tout devint noir à nouveau, et je repris connaissance devant ma maison, sept jours plus tard. J'avais tout oublié... Même Derial. Mais il était à présent en moi. Pour toujours.
Elle tomba sur le goudron, épuisée. Et l'esprit vide... Depuis combien de temps avait-elle disparu, qu'avait-elle fait, que lui était-il arrivé ? Une petite voix, en elle, lui souffla qu'il la protègerait... Comme un écho, un souvenir effacé. Sa mère fut la première à la voir. Cette dernière, son père, et un membre de l'Ordre coururent vers elle, puis la relevèrent. Elle s'évanouit. Son père la prit sur son dos et l'ammena dans sa chambre, escorté dignement par l'Ordre.
Personne ne sut ce qui m'était arrivé, et moi non plus, jusqu'à mes 18 ans... Ma vie continua comme ça pendant quelques années. Mais j'avais quelqu'un à qui parler, même si je pensais juste avoir une conscience avec un caractère spécial, ou quelque chose dans le même goût. Et je ne comprenais pas pourquoi mon coeur battait plus vite lorsque j'apercevais quelqu'un avec des cheveux blancs, ou lorsque je sentais certaines odeurs... Mais lorsque certains pouvoirs démoniaques commencèrent à apparaître, je compris bien vite que ce n'était pas exactement un ange gardien, ou une émanation de mon cerveau...
Elle regarda ses mains enflammées. Elle était tombée dans le feu par accident, s'amortissant par réflexe sur ses avant-bras, et ses doigts plongés dans le feu ne lui avaient causé aucune douleur... Et quand elle les avait ressorti, les flammes les avaient suivi. Le feu se propagea à une vitesse ahurissante le long de ses bras. Elle tituba et trébucha contre le mur du salon, qui s'embrasa lui aussi à une vitesse affolante. Oups, entendit-elle dans sa tête.
J'étais affolée. Ma maison brûlait, et l'autre me disait Oups ? J'oublia d'un coup le décor d'apocalypse dans lequel je me trouvais pour sentir une rage glaciale m'envahir. Qu'est-ce que tu as fait ! lui criais-je dessus.
Tu n'avais pas encore compris que j'étais un démon, Lullaby ? Elle se raidit en entendant ses paroles, puis s'évanouit. J'ai un peu perdu le contrôle, j'avoue mais... Et merde. Elle s'est encore évanouie.
On m'a rapporté que mes parents, alertés par les voisins, ont vu un homme grand et pâle aux longs cheveux blancs me porter dans ses bras et me sortir de la maison avant de disparaitre... Les pompiers n'ont rien compris à ce qu'il s'était passé... L'Ordre non plus. Mes vêtements, enfin le peu qu'il en restait, étaient brûlés par endroits et noirs de suie, les manches avaient été entièrement carbonisées mais ni ma peau, ni mes cheveux, ni nulle autre partie de moi ne comportait de trace de brûlures... J'avais 17 ans. A partir de ce moment, quelques souvenirs commencèrent à me revenir de cette semaine... A mes 18 ans, je me souvenais de tout.
Elle avait cru qu'elle était Nightblade. Ce n'était qu'un projet à l'époque, il n'en existait aucun, mais certains de ses cours avaient porté là-dessus - il fallait bien faire son éducation si on voulait s'en servir comme arme. Et c'est ce qu'elle était, en quelque sorte... Mais elle n'était pas comme ceux 'fabriqués' par l'Ordre.
Tout s'est passé très vite. J'ai quitté la maison sans prévenir personne, à mes 18 ans. Vous penserez peut-être que j'étais influencée par le parasite démoniaque que j'aimais, mais je ne voulais plus être contrôlée, manipulée par ceux qui m'avaient enseigné la magie. Et cette atmosphère me paraissait factice, à présent... Comme si ma vie parfaite avait été créée de toute pièce. J'ai vivoté quelques mois de petits métiers, dormant dans une minable mansarde avec évier qui se proclamait appartement. Et puis, un jour, tout bascula définitivement...
Elle tourna le regard, alerté par l'exclamation de Derial, qui se matérialisa pour la pousser. Mais il était trop tard, et la voiture qui arrivait en trombe la renversa avant de disparaître sous les cris et les coups de klaxons. Son corps disloqué retomba sur la route, et elle sombra avec dans les oreilles le hurlement de douleur et de rage du démon...
Je suis tombée dans le coma. Je me 'réveillais' parfois dans l'Ether, parfois dans le plan Onirique... Je retrouvais parfois conscience et je voyais de mes yeux fixes comme des billes de verre le visage de mes parents. Uniquement de mes parents... L'Ordre m'avait bien oublié. Du moins je le croyais... J'appris plus tard de la bouche d'un ange que Elysion avait effacé mon existence de la mémoire des membres de l'Ordre Mais celui qui m'avait éduqué, avait réussi à se souvenir de moi quelques années plus tard, et il me rendit quelques fois visite. J'étais proche de mes 19 ans. Je suis restée dans cet hôpital lugubre longtemps. J'avais presque trente ans à ma mort.
Lulla ? l'interrompit le démon dans ses pensées. Elle se tourna mentalement vers lui. Quoi, Derial ? Il prit le temps de répondre, et elle sentit une boule d'appréhension percer sa gorge. Tu sais que je n'arrive pas à me matérialiser depuis que tu es dans le coma... De plus, c'est douloureux de te voir comme ça et c'est une sensation très pénible. Je pense... Je pense que je devrais incinérer ce corps. On ne se réveillera pas, tu as compris tout comme moi que ce n'était pas un accident normal. Après un silence qui dura deux jours, elle ne lâcha qu'un mot. Oui.
C'était il y a maintenant une ou deux bonnes centaines d'années.
Pendant que mon corps brûlait sur le lit d'hôpital, je le serrai dans mes bras. Je ne voulais pas le quitter, mes sentiments de l'époque étaient revenus, bien virulents depuis que la barrière amnésique s'était estompée, et il était toute ma vie. Ce démon cynique et manipulateur... Sauf qu'il n'était pas précisément manipulateur mais juste trop malin. Et il avait un amour et une générosité surprenants même chez un humain, sous ce caractère je m'en foutiste. Il m'avait parlé de lui, lorsque nous étions dans le coma... On avait eu le temps.
Il avait toujours aimé la Terre et ne voyait pas pourquoi toujours l'apocalypse, l'apocalypse, l'apocalypse. Il tempérait les petits démons particulièrements chieurs et évitait les trop grands carnages et en cela il était apprécié par Elysion et, ironiquement, par les grands dirigeants de l'Enfer qui, bien que n'en ayant pas grand chose à faire des démons de rang inférieurs à eux et de la Terre, ne souhaitaient pas spécialement sa destruction. Cela aurait arrêté la partie d'échecs entre eux et les grands dirigeants d'Elysion, pour leur malheur à tous... Il fut autorisé à vivre sur cette planète qu'il aimait, celle qu'ils appelaient encore Gaia, comme à l'antiquité. Il monta vite de rang et il s'apprêtait à devenir encore plus puissant - ce qu'il est devenu en moi, puisqu'il y gagna également le don d'ubiquité, avec lequel il se matérialisait - lorsqu'arriva une tragédie.
J'ai mentionné plus bas ses enfants... En effet, Elysion avait comme projet de se constituer des alliés mi-démons mi-humains, et ainsi ils permettaient à quelques démons mineurs de se promener sur la Terre. Ces descendants devinrent les compatibles, les humains pouvant fusionner avec un démon, que l'Ordre nommait Nightblades. Et Derial tomba fou amoureux d'une humaine... Ils eurent des enfants et vivèrent quelques années fort heureux ensembles. Mais un jour, personne ne sut comment, la jeune femme, Hecteia Knight - je notai la similitude de noms - mourut. Fou de douleur, il péta les plombs et, sa conscience ayant disparu dans l'abîme de sa douleur, il se mit en tête de provoquer la destruction totale de ce monde qui lui avait ôté sa bien-aimée. Elysion et le Pandemonium, du moins leurs têtes pensantes, s'allièrent et réussirent à l'envoyer là où je l'ai connu... Elysion, avec l'intention manifeste qu'il rencontre un jour un humain avec lequel fusionner. Ils étaient d'ailleurs en effet mêlés à ma mort, comme mon démon le pensait. Ce qu'ils n'avaient pas prévu, c'est notre fusion.
Dans le cas d'un Nightblade classique, l'âme du démon est 'injectée' das le corps du réceptacle, et les âmes cohabitent simplement. Sinji, arrivé au paradis, ne ressentait plus aucune conscience de la part de son démon. Arrivé au paradis, le démon d'un Nightblade perd conscience de ce qu'il est, il est comme endormi. Bien que le réceptacle puisse utiliser ses pouvoirs. Dans notre cas, nos âmes s'étaient emmêlées, comme deux liens tressés. Nous étions indisociables.
Et il ne dormait pas. Lorsque nous fûmes arrivés au Paradis, j'avais repris, allez savoir pourquoi, l'aspect de mes 5 ans. Et l'on nous vit toujours ensemble, des fois j'étais perchée sur son épaule, mais nous ne nous quittions jamais. C'était parfois très drôle. J'ai croisé ce cher Sinji quelques fois, ayant le même rôle que lui - mais depuis bien plus longtemps que lui - mais, sans doute à cause de son propre cas, il n'a jamais compris que Derieeeel...était un démon.
Puis, un jour...
J'ai retrouvé un corps humain. Bien que ce soit celui que j'avais enfant, tout comme au Paradis...
A partir de ce moment, il y a deux semaines, je suis restée sur Terre avec Derial.
Nous pensons que c'est sans doute un petit cadeau de Satan, Lucifer et tous ces bourgeois de démons.
C'est sans doute pour ça que Elysion n'a pas trop trop râlé.
C'est peut-être aussi parce qu'ils se disent que par rapport à Sinji, ils n'ont rien à craindre de moi...
Ce en quoi ils se trompent. - Comment avez-vous connu ce forum ? : Google ♥
- Avez-vous lu le règlement ? : Oui.
- Autre : Pika-Seth est si chou ! ♥
| |
|
